Titulaire et remplacé à la 70e minute lors de la victoire contre le Panathinaïkos (2-1), Wesley Saïd a, une nouvelle fois, livré une belle copie. Comme à Angers, c’est autour de la demi-heure de jeu que l’attaquant est sorti de sa boîte pour offrir le but du break.

Malgré une entame fantastique, le RC Lens s’est compliqué la tâche avec l’exclusion de Medina à la 25e minute. « Ce n’était pas facile. On a joué une grosse équipe avec de l’expérience. On est rentré dans un match de duel et on a su répondre présent en mettant en place notre jeu. C’est de bon augure pour la suite », détaille Wesley Saïd.

Un pressing haut malgré l’infériorité

2-0 à la mi-temps, une réduction du score avant l’heure de jeu, c’est un scénario qu’on a beaucoup vu la saison passée. « On a appris de nos erreurs », souffle l’attaquant avant de poursuivre : « On a continué à jouer notre jeu. Quand on est passif, c’est dur de garder un résultat. On a joué notre jeu et cela permet de tenir le résultat. » Effectivement, bien que les Lensois étaient réduits à 10 contre 11, on a pu assister à un pressing très haut lors de la deuxième partie du premier acte.

Désormais, le Racing Club de Lens se tourne vers un déplacement en Grèce où il aura un but d’avance. « Il faut jouer à fond comme on a commencé le match, être sans retenu. On sera là-bas à 11 contre 11 et avec nos supporters. On sera prêt pour une bataille et on va essayer de se qualifier », s’enthousiasme Wesley Saïd.