Il n’y a pas eu beaucoup de satisfactions lors de la saison 2007-2008 du RC Lens, marquée par une relégation en Ligue 2. L’une d’elles réside dans le prêt réussi de Loïc Rémy.
Arrivé en prêt de Lyon en janvier, l’attaquant n’avait alors que 21 ans et cherchait à éclore au plus haut niveau, barré par la concurrence à Lyon. Auteur de 4 buts, il s’était vite imposé même si une blessure l’a empêché d’aider Lens à se sauver jusqu’au bout. Venu uniquement pour 6 mois avec l’objectif de retourner plus fort à Lyon, il s’était attaché au club au point d’envisager d’y rester. Mais pour cela, il aurait fallu accrocher le maintien. Dans un entretien pour Oh My Goal sur Youtube il raconte :
« A cet âge-là, il faut jouer. A Lyon, je sais que je suis barré, je ne joue que des bouts de match. Tu te rends à l’évidence et tu te dis qu’il faut engranger les minutes, que tu arrives à t’imposer avec régularité. C’est de là que vient la décision de partir en prêt. C’était pour revenir plus fort à Lyon et pourquoi pas m’imposer dans le club où j’ai grandi. A Lens, ils ont facilité les choses : mon passage à Lens paraissait fluide parce que j’ai été accueilli par des gens avec la main sur le cœur. C’est un passage regrettable, car derrière, il y a la descente en Ligue 2, tu vois les gens pleurer… Sur mon premier match, je marque contre Caen et ça facilite les choses, la confiance s’installe. J’ai été agréablement surpris. J’en ai pleuré de quitter le cocon familiale pour aller dans le Nord, j’avais ces idées reçues…, Ma mère m’a dit : « Tu n’as pas à pleurer, tu deviens un homme, ça va bien se passer ». Elle avait vu juste. La descente est un point noir, mais c’est un vraiment bon souvenir. C’était limite trop court. Il y avait une équipe de qualité et une atmosphère qui se dégageait de là-bas. J’attendais qu’une chose, c’était jouer à Bollaert. C’est gravé. Voir le club a ce niveau aujourd’hui ce n’est pas surprenant. Il y a tout pour réussir là-bas. C’était un prêt mais après les 5 mois, sans la descente, je serais resté. J’en aurais eu le souhait en tout cas. »
Bientôt la fin de carrière ?
Après Lens, Loïc Rémy a joué à Nice ou encore Marseille. Devenu international français, il a ensuite tenté sa chance en Angleterre, aux Queens Park Rangers, Newcastle, Chelsea et Crystal Palace. Il a aussi connu l’Espagne à Las Palmas et Getafe avant de revenir en France à Lille puis de jouer en Turquie à Rizespor et Demirspor. Après un dernier contrat court à Brest la saison dernière, sans jouer, il ne sait pas encore s’il y aura une suite à sa carrière, à 36 ans.
Viens chez nous faire une pige d’une saison. Mais attention Loïc. Pas de blessures. Lol. Bonne saison à toi
On dirait une parodie de “Bienvenue chez les ch’tis”… “Quand tu viens dans le Nord, tu pleures 2 fois : quand tu arrives et quand tu repars” !
Cahuzac lui si on lit ses déclarations de ce matin, il a pleuré en arrivant et a pleuré tout le temps de son séjour à Lens …des moments personnels effroyables il dit !!!! Pauvre garçon perdu loin de sa Corse natale et séparé de ses enfants (euh ses enfant ils pouvaient aussi rester chez nous, on est pas des sauvages, on a même des écoles) .. il pensait retrouver le sourire à Nice et ben c’est manqué ! …
Et après,ca ose faire des reproches sur un de mes commentaires et ca critique une personne dont on ne sait rien mentalement et psychologiquement, tu es comme le dédé, tu te contredis souvent dans tes commentaires stériles et douteux sur certains points , tu constateras que garder des enfants toutes une semaine en étant pratiquement jamais là, c’est quand même plus simple pour leur évolution de rester avec la mère qui doit travailler avec des horaires normaux mais ça, ca ne te vient pas à l’esprit, sacré Napoléon
Tu connais pas la situation familiale de Cahu, mais tu te permets de juger et donner des “conseils”… C’est drôle.
Il était bonnet c est blessé avant la finale de memoire
De mémoire mais je peux me tromper il se blesse pendant la finale (enfin je crois qu’il la débute mais il était peut être déjà blessé)
En effet il se blesse pendant la finale, Duhamel a fait le reste