Comme le met en avant une statistique remontée par L’Equipe dans son numéro de ce dimanche, Will Still est l’entraîneur de Ligue 1 qui effectue le plus de changements (4,7 par match pour 5 possibles). Rien de choquant au RC Lens, c’était déjà le cas par le passé avec Franck Haise monté à 4,8 la saison dernière.
Des changements nombreux mais pas toujours concluants en ce moment. Pourquoi ? Interrogé cette semaine, Will Still répond : « Je n’étais pas conscient que j’utilisais autant de changements, mais si tu as un groupe au complet et des bons joueurs sur le banc, il faut les utiliser. Ont-ils fait assez de différences en entrant ? Non. Est-ce que c’est facile d’entrer et de faire une différence ? Non plus. Je ne vais pas tirer à balles perdues sur les entrants. Tout le monde sait les mouvements survenus au club. Quand on sent qu’il y a des changements à faire, on les fait. Des fois c’est dès la mi-temps, des fois au milieu de la seconde période, parfois plus tard, ça varie en fonction des matches. Mais c’est une statistique intéressante. »
Ojediran, le cas particulier
Le principal entrant est Hamzat Ojediran. Il n’a en revanche jamais pu véritablement s’installer dans le onze. « Il a beaucoup d’énergie et s’il met la même intensité en match qu’à l’entraînement, il va prendre beaucoup de cartons. A nous de lui faire comprendre ce qu’on peut faire et ne pas faire » lâche Will Still.
Et une nouvelle fois, W.Still les bras croisés, regardez des photos, 8 fois sur 10, il a les bras croisés…Un bon job, celui d’entraineur.
Oui et alors tu veux qu’il mettent ses bras où


Dans sont
“Quand on sent qu’il y a des changements à faire, on les fait” bah non enfaîte… C’est exactement ce qu’on vous reproche à 1-0 à la mi temps avec 65% de possession pour l’adversaire et 0 tir ? Ya minimum 2 changements à faire pour passer le message au groupe. Sans parler du gardien qui aurait dû sortir sur sa boulette directement. Donc NON vous ne faite ni les bonnes compo ni les bons changements… D’où notre classement en deçà des possibilités. Quand on perd contre Le Havre à domicile c’est tout un symbole.