Alain Bauer a remis ce mercredi 23 novembre à Vincent Labrune, Président de la Ligue de Football Professionnel, son rapport consacré à ce qu’il appelle, l’amélioration de la sûreté et de la sécurité des rencontres de Ligue 1 et de Ligue 2. Suite à cette consultation auprès des clubs, des autorités publiques, des commissions de la LFP et des acteurs du football, Alain Bauer et son équipe ont mis en exergue six propositions.
Voici le communiqué.
Formaliser un texte national partenarial des relations État/Football décliné au niveau local
«Un texte fondateur national (du type de la convention État/football du début des années 2000 ou du cadrage de la Coupe d’Europe), décliné au niveau local, devrait être posé pour permettre l’inscription de tous dans une logique de front institutionnel. Il devra être ensuite adapté en contrats locaux de sites.»
Renforcer l’autorité de l’État, appuyée sur une expertise acquise : élargir le rôle de la DNLH et pérenniser la Cellule Interministérielle
«La Cellule Interministérielle existante, intégrant le ministère de l’Intérieur, le ministère des Sports et des Jeux Olympiques et paralympiques et le ministère de la Justice, pourrait voir son fonctionnement pérennisé au travers d’un rôle accru de conception des principes de sécurisation des rencontres de football et de coordination des actions des ministères et partenaires institutionnels impliqués. Dans cette organisation institutionnelle qui permet un déploiement des politiques publiques en matière de sécurisation des événements sportifs, il semble impératif de valoriser et développer les fonctions de la DNLH.»
Repenser le rapport aux groupes de supporters et adapter la législation notamment sur les fumigènes en responsabilisant les animateurs
«Les entités étatiques (Ministères, DIGES, CIS, DNLH, INS) chargées de reposer un cadre général pour le déroulement des événements sportifs dans les stades auraient l’occasion de repenser la notion d’interdiction des fumigènes autour des enjeux de protection des personnes et des biens qui participent à l’événement dans le stade.»
Rééquilibrer sanctions collectives et sanctions individuelles : rompre l’anonymat des voyous pour permettre aux supporters de jouer pleinement leur rôle de supporters
«En s’appuyant sur ce rapport clarifié et contractualisé aux groupes de supporters et aux fonctions d’accueil et de service aux spectateurs, l’objectif partagé notamment par les clubs doit être de rééquilibrer les sanctions individuelles et les sanctions collectives. Afin de garantir l’application ciblée des sanctions individuelles, il n’y a pas d’autre solution que de travailler à résoudre l’anonymat des hooligans et des voyous. L’exigence portant sur l’organisateur et le propriétaire du stade sera qu’il maîtrise qui participe à l’événement dans le stade.»
Développer une certification LFP qui permet de travailler à la sécurisation des événements sportifs dans les stades français à tous les niveaux
«Pour pallier les pertes de compétences observées dans la plupart des stades, mais également les pertes de volumes d’agents susceptibles d’intervenir dans les stades après la crise du COVID, il semble impératif d’adapter les formations et qualifications des agents amenés à intervenir dans les stades.»
Hiérarchiser les risques : passer du « prêt à porter » au « sur mesure »
«Toutes les recommandations précédentes doivent trouver à s’appliquer avec une capacité d’adaptation aux situations locales. Il n’est pas possible d’aborder uniformément des stades qui jouent à guichet fermé avec 60 000 spectateurs toutes les semaines et des stades qui ont du mal à atteindre 1 500 spectateurs de manière régulière. Il est impératif de tenir compte des effets de taille, des différences régionales, des spécificités sportives et physiques des stades.»
Suite à la parution de ces six propositions, Vincent Labrune a pris la parole. « […] Comme le souligne le rapport, la sécurité dans un stade est l’affaire de tous. A ce titre, l’Etat, les clubs, la Ligue et les acteurs doivent formaliser un cadre strict de collaboration. Le rapport témoigne aussi de l’absolue nécessité de renforcer le travail d’identifications des délinquants. Il faut rompre l’anonymat des voyous. C’est la seule voie possible pour se tourner vers des sanctions individuelles plutôt que des sanctions collectives ».
Il devient urgent de fournir des cartes magnétiques individuelles afin de savoir qui va pisser, ce qu’il a consommé, si il a bien fait sa séance de sport la veille,
si il est prêt à balancer son voisin…. ah et point important si il n’a pas emis d’insultes homophobe. On ne sait jamais, il pourrait être de mèche avec le pays organisateur de la coupe du monde, et ça… hors de question hein !
Plutôt que de se préoccuper de la sûreté et de la sécurité des rencontres de Ligue 1 et de Ligue 2 comme si on déplorait des morts à chaque rencontre de football ou encore de faire la chasse aux “regards insistants”, le gouvernement devrait s’attaquer aux trafiquants de drogue qui agissent en toute impunité dans les cités.
Concernant les problèmes du football, Labrune devrait consulter les véritables acteurs de ce sport, y compris les habitués des stades, plutôt que de commenter le pipi de chat de l’énarque franc-maçon Bauer qui n’a jamais mis un pied dans un stade de sa vie.
La sécurité dans les stades est devenue un problème majeur pour qui veut assister à un spectacle agréable, jovial et festif, avec sa famille, ses enfants. De nos jours, impossible de s’y sentir en sécurité à 100%. Il existe bien une solution : abolir et interdire le football qui finalement, n’est pas une denrée impérative à la vie et au fonctionnement de la société. S’il fallait en venir à mobiliser autant de forces de l’ordre que de spectateurs, je ne vois pas l’intérêt de continuer à entretenir ce genre d’activité. Le football, c’est comme la cigarette, difficile de s’arrêter mais, quand c’est fait, il n’y a que du bénéfice…Terminé les salaires honteux, les magouilles en tous genres, les disproportions sociales inutiles…Terminés les hooligans, bagarres de “supporters”, insultes et autres… Un monde SANS football, pas si mal peut être….
@Sang chaud Bien-sûr qu’il faut s’occuper des problèmes de sécurité. Ton argument s’appelle un faux dilemme. C’est pas parce qu’il y a plus grave qu’il ne faut pas traiter ce problème là.
Dans ce cas, qu’on ne s’occupe pas du trafic de drogue, mais plutôt de la faim dans le monde. L’un n’empêche pas l’autre.
Qui peut nous dire pourquoi ces débats là n’ont pas cours dans le rugby ?
@Dede62 , parce que le rugby est ennuyeux à mourir , avec 50 coup de sifflet de l’arbitre qui stop le jeu. Jeu qui est d’ailleurs impossible à pratiquer avec le système de passe en arrière, donc à part attendre un mec partir SEUL faire un sprint, alors que c’est censé être un sport collectif, on se fait chier soyons honnête. Le foot peut être pratiquer avec un caillou, avec une canette et 2 manteaux posé par terre, il peut être jouer dans le sable, dans la terre battue et sur tous les continent. J’ai pas encore vu des jeunes faire du rugby sur du goudron, ou en intérieur… Bref forcément ça en fait un sport clairement moins attractif. Si ya moins de monde, ya forcément des statistiques moindres. Cependant je t’invite à aller sur YouTube et enquêter sur les hooligans du rugby. Yen a tout autant que dans le foot, et oui c’est un véritable fléaux. On a beau avoir le même maillot, la même écharpe. Tout ce qui compte pour ces gars là c’est de se bastoner… Donc oui ça manque de flic comme de toute façon partout. Suffit de prendre le volant d’une bagnole pour voir des malades conduire sans contrôle. Pour automatiser avec des radars qui ne demande ni salaire, ni retraite ya du budget. Pour des humains fonctionnaire… Ha… Le problème doit venir de la … Malheureusement dans un monde capitaliste qui ne souhaite que couper les budgets des fonctionnaires, ce sera toujours difficile. Sauf si ils en arrivent à privatiser la sécurité, la peut être que ? Mais les bavures ça va y aller… Sinon ya la méthode anglaise, tu met des places à 200 euros le match et ça fait le tri. Car la majorité des personnes violentes sont pauvres, ayant souvent subit les violences de la société. Bref plus qu’un soucis de sécurité dans les stades c’est une question politique societale. Le rugby n’est pas épargné suffit de chercher.
Syl1362: Vous devriez cesser votre bourre-mou et consulter….
508GT: Un monde sans tabac, sans alcool sans viande ce serait pas mal aussi. Ces besoins ne sont pas vitaux. On diminuerai le nombre de cancer ce qui permettrait de libérer du personnel médical et d’éviter certains drames familiaux…
Vous avez raison elle est simple la vie…
@Dede62 , Bah écoutez grâce à moi ya des Frégates de l’armée française qui ce construise, des centre hospitaliers, ou des data center. Je vais voir mon médecin comme beaucoup et jusque aujourd’hui aucun trouble mental ne semble apparent. Plutôt que de m’insulter, vous n’avez des arguments à faire valoir ? La dernière fois que je suis allez voir un match de basket amical en moins de 18 ans, la moitié des spectateurs c’est levé pour entourer l’arbitre amateur… La société est violente conséquence les gens deviennent violent. Avant on se faisait arrêter par un gardien de la paix, il nous disait que 51 au lieu de 50 c’est pas jojo, mais qu’il laisse passer pour cette fois. On pouvait discuter, c’était humain. Aujourd’hui le radar ne discute plus, à découvert où non, au resto du cœur ou non, c’est l’amende assurée même si vous étiez pressé d’arriver à l’hôpital pour les dernières heures de votre maman… Dans ces conditions là société devient violente et divisé. Mais c’est peut être aussi le but de certains dirigeants, ainsi divisé ya plus qu’à régner. Dommage de perdre cette solidarité camarade, mes grands parents sont mort par la mine, et ils savaient ce que ce serrer les coudes voulait dire. Vous semblez à des années lumières de cela. Mais bon… Vous n’avez peut être jamais mis les pieds dans un coron je suppose.
Syl1362: Je vous rappelle que le sujet de départ était: Les voyous dans les stades.
Si je vous ai interpellé c’est parce que vos digressions font peur. Relisez-vous!
Petit rappel hors sujet car vous semblez perdre la tête, je vous ai déjà dit que la mine m’avait pris quatre personnes très chères… Quant aux corons, j’y ai usé mes fonds de culottes dès ma plus tendre enfance.