Ces dernières semaines, le Racing Club de Lens a eu des relations houleuses avec la VAR et le corps arbitral. Une tension qui s’étend dans tout le championnat et qui donne souvent des déclarations à chaud qui sont fortes de la part d’entraîneurs dans l’incompréhension. À froid, Franck Haise évoque le sujet.

À chaud ou à froid, cela ne change pas le point de vue de l’entraîneur du Racing Club de Lens. « C’est un sujet légitime après les matchs, les coachs parlent de leur ressenti du moment et le mien n’a pas changé cinq jours après », lance Franck Haise avant d’étoffer le sujet : « Vous cherchez à interpréter les paroles du coach. Mais ce n’est pas la vraie question, regardez le match et vous avez votre analyse. Sur l’action du pénalty, j’ai la même conviction qu’il y a cinq jours. Est-ce que j’ai raison ? Je ne sais pas mais j’ai mon idée. De la même manière que sur le premier but de Monaco… j’ai mon avis mais je ne suis pas là pour pleurer. »

« Le plus important, c’est ce qui dépend de nous »

Pour l’homme fort du RCL, la VAR, souvent ciblée, a eu son rôle sur les dernières rencontres : « Il ne faut pas analyser mes paroles mais plutôt comment la VAR soutient l’arbitre. Ça, je ne sais pas. La VAR aide en général l’arbitre. La VAR a fait son travail après c’est l’arbitre qui décide. Il y a des périodes plus compliquées quand on est entraîneur. Mais surtout, ce qui est le plus important, c’est ce qui dépend de nous : pas la VAR, pas l’adversaire. C’est nous et ce qu’on peut améliorer. Les erreurs font partie du jeu. » Débat clos ! Du moins jusqu’à la prochaine décision litigieuse.