Ancien milieu du RC Lens, Adama Guira a pris la lumière des projecteurs cet hiver en participant à la Coupe d’Afrique des Nations avec le Burkina Faso. Une campagne durant laquelle il a été un titulaire régulier dans une équipe qui a terminé 4e.
Il retourne maintenant au quotidien et dans l’ombre, à Rioja, en 4e division espagnole. Interrogé par la presse polonaise t TVP Sport, il en profite pour glisser qu’à l’époque de sa venue à Lens en 2016 en provenance de Sonderjyske au Danemark, il avait refusé le Legia Varsovie pour rejoindre l’Artois. Il ajoute à propos de son expérience d’une saison à Lens : « Dès le début, à Lens, j’ai eu des problèmes. Je me suis blessé à la cheville et je n’ai pas joué souvent. Ensuite, je suis parti jouer la CAN et à mon retour, j’ai eu la mauvaise surprise de me retrouver en réserve. C’est pourquoi nous avons résilié en fin de saison (…)Je voudrais jouer le plus longtemps possible. Je ne sens pas mon âge (ndlr : il aura bientôt 34 ans), je suis toujours en forme. Et je crois que je peux faire encore plus, dans les clubs et en équipe nationale. » Le 24 septembre 2016, Adama Guira avait été expulsé pour sa première titularisation de la saison avec Lens, à Valenciennes. A 10 contre 11, Lens s’était imposé 2-1.
le carton rouge une grosse erreur de Douchez qu’Adama Guira a payé cach.Par la suite il n’a plus eu sa chance.dommage Bonne chance à toi
Comme son parcours l’a montré il n’était pas niveau de la L2 française comme beaucoup de nos recrues en ces années difficiles ; on faisait avec les moyens du bord …. heureusement tout cela est derrière nous .. et oui bonne chance à lui !
Oui enfin ça faisait des années que beaucoup dont moi même on critiqué la cellule de recrutement de l’époque qui soit disant savait parfaitement ce qu’elle faisait. Et aujourd’hui quand on voit des recrues à 0 euros qu’on a eu comme Badé, ou Clauss, je pense qu’on peut largement confirmé qu’à l’époque on avait raison.
Il fait parti de cette sombre époque ou Blanchard s’occupé du recrutement. Sa fait du bien de nous rappelé ce genre de souvenir histoire qu’on constate combien on a de la chance maintenant