En cette période de fêtes, Lensois.com vous propose, comme à la même époque et pour la 18e année, son abécédaire du RC Lens. Dès à présent, poursuivons la série avec la lettre B comme blessés !
Il y en a eu des malheureux cette année. Petites ou grosses blessures, 2024 a réservé son lot de mauvaises nouvelles aussi dans les rangs artésiens.
Cette deuxième partie de l’année n’a pas garni Will Still, alors fraîchement arrivé au club et à la tête d’un effectif, au départ, relativement étoffé. Mais très vite, les blessures se sont empilées, forçant le coach lensois à ne plus trop avoir le choix sur certains postes. Il y a eu Martin Satriano, recrue estivale qui a effectué 4 entrées en jeu depuis le début de la saison, jouant une quarantaine de minutes au total, mais qui s’est rompu le ligament croisé antérieur du genou gauche fin septembre. Rémy Labeau Lascary, alors en pleine montée en puissance, a subi le même sort début décembre. Sa saison est terminée. Chez les filles, c’est Alizée Méreau qui s’est rompu un ligament du genou droit le même week-end. Wesley Saïd a déjà manqué sept rencontres à cause d’un quadriceps contraignant.
Des blessures musculaires pour beaucoup
Un peu plus tôt dans la saison, Hamzat Ojediran était touché musculairement, Frankowski également. Neil El Aynaoui a manqué un bout de la saison après son transfert avorté à Monaco, même chose pour Kevin Danso à Rome. On n’oublie d’ailleurs pas Ruben Aguilar, qui s’est démis l’épaule, qui a depuis été opéré et qui est attendu prochainement sur les terrains.
On peut également évoquer le prêté Oscar Cortés, qui a eu très peu de temps pour se montrer chez les Rangers. Le club écossais a d’ailleurs demandé à prolonger le prêt. Le joueur s’est de nouveau blessé et vient tout juste de faire son retour.
Enfin, Jimmy Cabot a mis un terme à sa carrière cette année après une blessure qui ne s’est jamais vraiment soignée depuis deux ans.
Dans l’ombre des stades, où l’écho résonne,
Des rêves s’éteignent, des espoirs frissonnent.
Les maillots se croisent, mais le cœur est en peine,
Des footballeurs blessés, victimes de la scène.
Leurs jambes, jadis agiles, dansent sur le gazon,
Aujourd’hui immobilisées, comme un triste frisson.
Les tifos s’agitent, mais le silence s’installe,
Pour ces guerriers du sport, l’heure est à la cavale.
Les larmes de la douleur, sur les visages marqués,
Des saisons interrompues, des luttes à oublier.
Ils regardent le jeu, depuis le banc des remplaçants,
Leurs rêves de gloire, désormais si lointains.
Mais dans le cœur des fans, une lueur persiste,
Chaque blessure, un combat, un esprit qui résiste.
Ils portent en eux, la passion du ballon,
Et savent qu’un jour, ils retrouveront la saison.
Alors, à ces héros, qui bravent le destin,
Nous chantons en chœur, pour qu’ils reviennent enfin.
Car le foot est une danse, et même dans la douleur,
Leur flamme brûlera, portée par le cœur.
Avec tout ça, est-ce que l’option “craindre la blessure grave” ne fait pas parti de celles poussant les dirigeants à vendre Khuzanov aussi prématurément??
Je pense que oui. Depuis notre remontée, c’est la pire saison niveau blessure.