L’arrivée d’Eric Sikora à la tête de l’équipe première du RC Lens, on a donné lieu à un changement de staff technique. Fidèle au coach lensois, Daniel Moreira est resté son adjoint chez les professionnels.
L’ancien attaquant international raconte sa reconversion et son retour chez le club Sang et Or : « J’ai passé mes diplômes d’entraîneur. Après la fin de ma carrière, le RC Lens voulait que je revienne au club. J’ai été contacté il y a cinq ans par Antoine Sibierski. Comme j’avais toujours ma maison ici, car je suis issu de la région, j’ai testé pendant cinq-six mois et ça m’a plu. Le RC Lens m’a alors proposé d’être l’entraîneur adjoint d’Eric Sikora en CFA. Quand « Siko » a repris les rênes de l’équipe première, il m’a proposé de continuer notre travail et j’ai accepté volontiers. Nous pouvons transmettre notre expérience du haut niveau aux joueurs actuels. »
Daniel Moreira explique également sa façon de procéder avec l’effectif artésien : « On leur répète souvent les choses par rapport aux valeurs du club mais notre expérience de joueur compte également beaucoup. Les joueurs y sont sensibles. Nous leur faisons comprendre que le RC Lens n’est pas un club ordinaire. On a des supporters qui sont derrière nous, notre stade est toujours plein. Au début, il y avait des joueurs qui avaient peur d’évoluer à Bollaert donc il faut leur faire comprendre que c’est un plus. Bollaert doit être un stade où les équipes adverses ont peur de venir et où il est difficile de venir chercher des points. Lens est un grand club, on le voit au quotidien avec notre outil formidable qui est La Gaillette. Nous avons tout pour bien faire. La place de Lens n’est pas en Ligue 2 mais en Ligue 1. Il faut repasser par les bases et retrouver les joueurs qui ont l’identité RC Lens. C’est ce qu’on fait petit à petit et j’espère que la saison prochaine, nous pourrons jouer le haut de tableau. »
(Source : Footdavant.fr)
Aucune chance avez-vous au commande il faudrait changé tous le staffer et une bonne partie des joueurs car vous avez intoxiqué là plupart entre eux
Il y a longtemps que les valeurs du clubs sont passées aux oubliettes désormais c’est l offre plus lucrative qui est prioritaire. ..
c’est bien cela le problème, et pas qu’à Lens.
En national il y a encore cet esprit club, cet esprit de corps. Mais après c’est tout !
Il faut revenir aux valeurs fondamentales…Remonter avec des joueurs du crû qui sont attachés aux valeurs du club et qui les représentent parfaitement, comme ce fut le cas dans les années 90.
Dans l’absolu, il faudrait aussi mieux payer les joueurs prometteurs et issus du centre de formation… leur offrir aussi un meilleur avenir, et virer systématiquement les mercenaires identifiés.
Mais j’ai bien peur que cela ne soit plus possible et que l’on soit condamné à revivre éternellement ce cercle infernal : revendre un très bon (souvent très jeune) et racheter par défaut ou se faire prêter deux joueurs moyens voire mauvais, en général plus âgés…
des joueurs du cru alors ?
pour ça , faut pas aller recruter au fin fond des 5 continents !!!
Pour retrouver l’identite De bollaert il faut virer plus des 3/4 de l’equipe!!!
maintenir nos jeunes a tous prix,les encadre par quelque joueurs agueris a ce championnat.pas de recrutement tous azimuts avec 10 nationnalites differentes,c est deja pas facile de se faire comprendre en francais pour retrouver une identite lensoise mais ce sera dur ya eu trop d erreurs commises.
ok pour ces valeurs mais il faut faire une grande lessive, seul joueurs ayant vraiment mouillé le maillot cette saison sont vachoux, lopez, ctenovich, le reste ne vaut pas un clou ,et le plus dur sera d’assurer le maintien , car vu la prestation en coupe c’est pas gagné.
LES VALEURS DU CLUB………………….
voici ses propos après son départ du club pour Toulouse.
“Concernant Lens, vu les propositions qui m’étaient faites et vu la saison que nous venions de vivre, je ne souhaitais pas disputer la saison de trop. Et puis on me proposait quatre ans de contrat avec baisse de salaire, ce que je n’ai pas accepté.”
Je comprend qu’il n’accepte pas une baisse de salaire (et encore il faudrait voir de quoi il s’agissait exactement) mais dans ce cas qu’il ne parle pas des valeurs du club.
et ça veut faire la morale aux autres, un exemple de plus qui explique certaines choses depuis quelques années.
On a pourtant pas mal de gueules noires sur le terrain ! #humour 😉
L’esprit du club : il n’y a plus que les supporters qu’ils l’ont car ils sont les fils et des petits fils des vieux qui ont connus lors des matches des coupes d’Europe et qui laue ont tansmis l’esprit lensois, l’esprit des gueules noires qui mouillaient leurs maillots au travailAujourd’hui, il y a des gueules noires mais ils ne travaillent pas à l’fosse!Gervais est devenu amnésique et les Sikora, Vairelles et Moreira ont fait comme tous les autres “prends le pognon et tire toi ailleurs”
Les valeurs du club, les valeurs du club, les valeurs du club, faut arreter un peu avec ça et ces discours fait pour amadouer les supporters. Ce qu’on veut c’est des joueurs qui savent jouer au football et ensemble. L’envie de jouer et de se donner à fond est valable pour chaque club à mon avis et pas juste au RCL. A la limite inculquer l’orgueil, l’esprit de revanche, le rejet de la defaite, ça d’accord. Je souhaiterais que Moreira trouve plutot une solution à nos problèmes offensif car c’est un peu son boulot que de parler pour rien dire.
Appel au boycott contre bourg !
T es sérieux ????? Le match certainement le plus important de notre saison . Une fois sauvé pourquoi pas faire Stade vide jusqu’à la fin de saison pour marqué le coup , mais vendredi c est trop important , donc union sacrée !!!!
T’as vu les résultats à domicile?Stade plein = nul ou défaite”Il faut combattre le mal par le mal” donc STADE VIDE.
Blablabla et blablabla…. STADE VIDE pour ne plus les apeurer nos chèvres!
pour cette saison et les saisons passees les staffs les joueurs salissent nos couleurs nous sommes ridiculises amis supporters c est la honte pour nous habitant compiegne je ne me deplacerais plus a lens pour revoir des anes jouer a la baballe ou on est arrive